Bonjour, tout le monde !
Pas vraiment un épisode, mais plutôt un petit point infos et surtout une annonce un peu importante pour vous prévenir de potentiels changements à venir (surtout concernant Spotify). Ça mange pas de pain.
Un podcast pour remettre sur le devant de la scène des albums et des artistes parfois trop peu connus, voire même tombés dans l'oubli, et tout ce qui les entoure. Un seul mot d'ordre : (re)découverte.
Bonjour, tout le monde !
Pas vraiment un épisode, mais plutôt un petit point infos et surtout une annonce un peu importante pour vous prévenir de potentiels changements à venir (surtout concernant Spotify). Ça mange pas de pain.
Je dois vous l’avouer, il y a un genre musical que je me suis décidé à explorer avec un peu plus d’ardeur et beaucoup de bonheur depuis deux ou trois ans, et c’est la soul et le funk. Ainsi, comment résister aujourd’hui à l’envie de vous présenter Latimore dans cet épisode 54 (Meurthe-et-Moselle représente) ? Cet homme, c’est un peu le chaînon manquant entre Barry White et un chanteur de blues. Ce natif du Tennessee est surtout connu pour un gros tube sorti durant les années 70 qui, même s’il est parvenu jusqu’en Europe, n’a pas eu le même retentissement qu’aux États-Unis. On pourrait donc le classer dans la catégorie des one hit wonders, mais Latimore, c’est bien plus que ça, c’est une carrière qui s’étale sur plus de 60 ans et une tripotée d’albums fabuleux qu’il convient de remettre à l’honneur, et celui qui a été choisi pour vous le faire comprendre, c’est It Ain't Where You Been… It's Where You're Goin', sorti en 1976.
Titres diffusés durant l'émission :
Après une bonne pause estivale bien méritée, il est temps de revenir aux affaires et quoi de mieux pour ça que de retourner ce mois-ci au pays du fascisme, du capitalisme outrancier et des flingues : les États-Unis !
Pour cette reprise, je vous emmène découvrir l’univers d’un désormais vieux barbu toujours actif qui mène sa carrière tant bien que mal depuis les années 60, un certain Shawn Phillips. Si son nom ne vous dit peut-être rien, sachez que le bonhomme a bien roulé sa bosse en proposant pléthore d’albums dans les années 70 et, même s’il n’a jamais connu un succès fracassant, il a su depuis cette époque conquérir le cœur d’une horde de fans. De plus, vous constaterez que ses capacités guitaristiques, mais pas que, lui ont également permis d’avoir une influence notable sur certains musiciens aujourd’hui plus célèbres que lui. Qui donc ? Comment ? Pourquoi ? C’est ce que je vais vous expliquer durant ce 53e épisode tout en vous proposant ce qui est sans doute l’un des disques les plus célèbres du chanteur : Second Contribution, sorti en 1970.
Titres diffusés durant l'émission :

Pour ce dernier épisode de la saison, on s’attaque à un gros… que dis-je… ÉNORME morceau qui va nous faire voyager de l’autre côté de l’Atlantique, mais un peu plus au nord que d’habitude, puisque notre voyage musical fait ce coup-ci halte au Québec. Si pour vous autres, habitants des pays francophones d’Europe, le nom d’Harmonium n’évoque rien, au Québec, c’est tout le contraire. Harmonium, là-bas, ce n’est pas qu’un simple groupe de musique comme les autres, c’est une institution, et l’un de ses principaux fondateurs, Serge Fiori, est considéré comme l’un des musiciens les plus importants de la Belle Province. Pourtant, ce groupe n’a sorti que trois albums entre 1974 et 1976, mais alors, qu’est-ce qui fait que cette formation a tant marqué les francophones canadiens ? Eh bien, c’est ce que je vous propose de découvrir au travers de ce long épisode de plus d’une heure et demie qui va nous permettre de retracer toute la carrière de Serge Fiori, au sein d’Harmonium et en solo, et de parler un peu de politique québécoise au travers du troisième et dernier album du groupe : L'Heptade. Bonne écoute.
Édit : un peu plus de 2 semaines après la sortie de cet épisode, Serge Fiori nous a malheureusement quittés des suites d’une maladie le 24 juin 2025... Qu’il repose en paix.
Un grand merci à Louise Thériault, autrice de l’ouvrage Serge Fiori : s’enlever du chemin, biographie de l’artiste, qui a été ma principale source d’informations pour la création de cet épisode.
Cet épisode est dédié à ma petite chatte Socquette qui nous a quittés durant la création de celui-ci le 24 mai 2025.
Titres diffusés durant l'émission :

Serge Fiori
Nous voilà revenus au Royaume-Uni, et plus précisément au nord de l’Angleterre, dans le coin de Liverpool, une ville qu’on a déjà visitée il n’y a pas si longtemps que ça lorsqu’on a abordé le cas du groupe Colonel Bagshot. Retournons cependant un peu moins loin dans le temps par rapport à ce dernier pour nous rendre dans les années 80, période qui a vu l’émergence et la démocratisation d’un nouveau courant musical : la new wave. Comme d’habitude, au milieu de ce bouillonnant mouvement, certains artistes et groupes se sont davantage imposés que d’autres et It’s Immaterial, notre sujet du jour, ne fait pas tout à fait partie de ceux-là. Créé au tout début de la décennie, ce groupe a pourtant réussi à marquer les esprits en son temps grâce à un single qui a très bien marché. Malheureusement, et peut-être du fait de son identité musicale un poil étrange, il n’a finalement pas réussi à asseoir sa position. Penchons-nous donc sur le cas de ce groupe indé et new wave pas comme les autres au travers de son premier album sorti en 1986 : Life's Hard and Then You Die.
Titres diffusés durant l'émission :
